Je me présente.
Dans la vrai vie.Âge: 29 ans
Disponibilité: Toujours en survole du forum
Niveau de rp: Bien
Ton personnage.Prénom: Himako
Nom: Tadashi
Race : Hybride Porc-épic méchante
Âge: 26 ans
Taille: 1m56
Poids: 53kilo
Caractéristique physique : Je suis rousse. Je mesure 1m56 et je pèse 53 kilo. Je suis petite, mais ça ne m’empêche pas de faire ce que je veux. Je n’ai pas besoin d’être musclé, j’ai assez de Malik pour me protéger les fesses. Je n’ai rien de particulier sur moi. Deux trous dans chaque oreilles et c’est tout. Comme je suis un porc-épic un peu paresseux je ne cache aucun de mes attribues. Comme je suis chanceuse ils se résument qu’à des piques au niveau de ma chevelure et un petit bout de queue sur mon coccyx. Les deux se camouflent bien dans mes cheveux et dans mes pantalons. Je garde toujours les alliances de mes parents dans mon cou sur une longue chaine. Voilà!
Résumé court de votre histoire : Je suis dans une salle toute blanche, mais pourquoi j’y suis attaché? Qui…? Qui hurle comme ça? Non mais ce bruit est tellement énervant. Oh mais attendez…c’est moi ! C’est ma voix, mon hurlement. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi je hurle comme ça? Oh mes parents… J’aimerais qu’ils soient avec moi. Je sais que je l’ai réclamé dans mon hurlement, mais on me répond qu’ils sont décédés. Comment? COMMENT? Un accident…Une voiture tout me reviens, mais je n’y étais pas. Il y avait un policier à ma porte. Il était désoler, il me demandait si j’avais quelqu’un avec moi, mais pourquoi? J’ai 26 ans je n’ai pas besoin de personne. Il déglutit et me le dit, ils sont mort. Tous les deux, sur le coup. Mon souffle…Je ne respire plus, je panique, je pleure, je me sens tombé. Quelqu’un me tiens, un inconnu, surement le policier, mais je ne veux pas. Il ne doit pas… Il hurle, il saigne. J’aime cette odeur, métallique, délicieuse. J’en veux plus, encore plus. J’en vois plus sur mes mains, sur mes vêtements, je frotte mon visage dans ce merveilleux liquide visqueux. Ce parfum, ce policier sens si bon, mais pourquoi on m’arrête. Qui ? On me pince dans le cou, une aiguille Je suis si fatigué, je dois fermer les yeux, juste un peu…
C’est vrai, j’ai pêté un plomb quand j’ai appris…appris la nouvelle. Mes parents les seuls qui étaient apte à me tenir calme. J’ai arrêté de hurler. Quand? Oh dès que je me suis rappeler. Respirer, mettre ses idées en place, respiré, expiré. Le policier? J’espère qu’il va bien. Je ne l’ai pas…tuer? Non, je me souviens qu’il respirait encore. Le tremblement de mes membres me ramène à la pièce blanche ou je suis. Une chambre. J’ai froid, ma tête est complètement vide, mais mon cœur pleure. Je déteste être comme ça. L’état second dans lequel je me retrouve après une crise.
J’ai ce qu’on appelle des troubles explosif intermittent (TEI), mais dans mon cas c’est extrême. La TEI est une explosion de colère violente pour des raisons stupides. Par exemple si je demande du fromage, mais qu’on me donne du chocolat j’explose. Mes parents mon toujours appris à soulager c’est moment de crise en me rappelant leur présence. Comment…? Maintenant qu’ils ne sont plus là, j’aviserais le moment venu. Je portais pour feux mes parents un amour inconditionnel. Habituellement, après les crises, une personne souffrant de TEI se sent coupable d’avoir commis leurs actes de violence, mais pas moi. Je ne ressens rien, pas de plaisir, pas de tristesse, vraiment rien. Ce qui n’est pas normal.
Je comprends rapidement que je me trouve dans un hôpital et que j’y suis attachée. J’ai quand même agressé violemment un agent de la paix, mais je sais que l’avocat familiale va arranger les choses pour que je n’ai que les frais médicaux à payer pour le malheureux. Je passe quelque temps enfermer dans ma chambre, attendant qu’ils viennent me juger inoffensive. Tout ce passe presque bien, si seulement il n’y avait pas toujours cet abruti qui vient me voler mes médocs. Il croit que je dors, mais à chaque matin il rentre subtilement dans ma pièce et me vole, mais je ne dis rien. Je n’aime pas les pilules, alors pourquoi avouer aux infirmiers que je ne prends pas ma dose habituelle. Je n’avais jamais besoin de les prendre avec mes parents.
-Malik…Si tu ne dis rien, on va pouvoir être copain.
Malik…Il est intéressant et surtout fou. Je l’aime bien. En fait il me fait penser à mon père, je crois que j’ai besoin de lui. Il pourrait m’être utile, il pourrait être violent à ma place. Cet homme vert est impressionnant, je dois être avec lui. Il aime les mêmes choses que moi, mais lui il a le droit de le faire. La souffrance des gens est un soulagement pour nos âmes. C’est décider je suis avec lui.
Après un mois de traitement je suis enfin sorti et Malik avec moi. Je le forçais à me suivre partout où j’allais, lui promettant des choses comme de l’argent et de la violence. Ma vie n’était que violence et argent. Je suis riche et violente. L’avocat de ma famille se pointa la journée de ma sortie, il me parla du testament. J’avais tout raflé, mes parents m’avaient tout laissé, la maison, les deux voitures, le bateau et L’Hôtel. Je nommais Malik comme étant mon bras droit, le seul qui serait en mesure de prendre des décisions à ma place. Le seul étant en mesure de me protéger contre moi-même et de protéger les autres de moi.
Personnage sur l'avatar: Flaky / Happy tree friend